En lisant ce récit érotique SM vous allez vivre le scénario mis en place par Maeva et Cédric pour s’initier en douceur aux plaisirs du BDSM. N’hésitez pas à lire tous nos textes BDSM si vous aimez ce genre d’histoire érotique !
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Elle voulait se faire soumettre comme une chienne
Cela fait quelques années que je fréquente Maeva. Elle, comme moi, nous sommes ce qu’on appelle un couple illégitime. On se voit quand on en a envie, sans prise de tête. Si vous voulez, c’est un plan cul sérieux et suivi, mais nous avons gardé notre vie, chacun de notre côté. Cela nous permet de profiter uniquement des bons moments. Enfin, la plupart du temps…
Un soir, après que nous ayons fini de baiser dans mon lit, elle s’est tournée vers moi et m’a dit “Il faut qu’on parle”. Sur le coup, je me suis dit qu’elle voulait mettre fin à notre relation, car elle avait rencontré quelqu’un. Mais ce n’était pas ça. Elle en avait assez de faire l’amour de façon classique, car elle commençait à s’ennuyer. Elle n’avait rien contre les préliminaires et le sexe basique, mais depuis quelque temps, elle avait envie d’autre chose.
Elle me demanda alors ce que je pensais du BDSM, car elle n’avait qu’une envie : se soumettre à moi, comme une chienne mais elle n’avait jamais osée aller sur un site de rencontre BDSM. Je ne m’attendais vraiment pas à avoir cette discussion avec elle, mais j’avoue, je commençais à bander à nouveau, alors que l’on venait juste de faire l’amour. Je ne lui en avais jamais parlé, mais cela faisait partie de mes fantasmes. Je lui ai donc dit que j’étais partant, mais que c’était moi qui prenais les rênes pour notre prochain rendez-vous. Elle n’en saurait pas plus ce soir, ni quand, ni ce que je prévoyais. J’avais besoin d’un peu de temps pour préparer mon scénario.
Je l’avoue, j’ai regardé sur internet pour trouver mon inspiration, car ce n’est pas évident de se lancer la première fois et qu’on veut apprendre le BDSM. En plus, même si nous n’étions pas un couple classique, je tenais à elle et ne voulais pas la perdre. Une fois décidé de ce que je voulais lui préparer, j’ai loué un déguisement pour l’occasion. J’ai attendu de le recevoir pour la surprendre. Je savais que le lundi soir, elle allait au sport et serait rentrée chez elle vers 22 heures. C’était l’heure parfaite pour que j’entre en scène, sans trop croiser de monde à sa porte.
J’ai donc revêtu mon costume vers 21 heures, révisé le scénario que j’avais imaginé, puis j’ai pris la route jusqu’à chez elle. J’étais en avance, car je voulais être certain de la voir rentrer chez elle, pour ne pas frapper alors qu’elle n’était pas encore là. J’ai attendu qu’elle ait refermée sa porte pour sortir de ma voiture. J’étais habillé en policier, mais pas avec un déguisement bas de gamme. J’avais également investi dans une paire de menottes et une matraque en cuir noir, achetée sur un site de sextoys.
J’ai sonné. Comme elle venait juste de rentrer et qu’elle n’était pas méfiante, elle a ouvert immédiatement. Je lui ai alors dit : “Bonjour Madame, nous avons reçu un appel de vos voisins. Ils pensent avoir aperçu un homme tenter de rentrer chez vous. Je vais rentrer avec vous pour m’assurer que tout est en ordre”. Une fois entré dans le couloir, j’ai fermé sa porte à clé. Je savais que la première porte à droite était son bureau. Je suis entré avec elle et je suis directement allé vers la fenêtre, pour appuyer sur le bouton fermant ses volets de manière automatique. Je suis alors ressorti, en prenant évidemment le soin de prendre la clé dans la serrure et je l’enfermais dans le bureau, officiellement pour assurer sa sécurité.
J’ai tout de même pris le soin de faire le tour de sa maison, seulement pour fermer tous ses volets. Je ne voulais pas être dérangé, même si j’avais prévu de rester dans son bureau au départ. Quand je suis revenu devant sa porte et que je l’ai ouverte, elle était debout dans la pièce. Je lui ai ordonné : “Asseyez-vous immédiatement ou je vous emmène au poste pour vous interroger !”. J’ai bien vu qu’elle était surprise.
J’ai alors tiré sa chaise de bureau et elle s’est assise. J’ai attrapé ma paire de menottes pour lui passer à ses poignets. J’ai tourné brusquement son fauteuil vers son bureau et j’ai allumé la lampe qui était posée dessus. J’ai posé un sac congélation contenant de la poudre blanche et un autre avec des billets. Bien sûr, il s’agissait de farine et de faux billets. “Pouvez-vous m’expliquer tout cela !”. Elle m’a répondu qu’elle n’en savait rien. “Vous mentez ! Je vais vous dire ce que c’est : vous faites du trafic de drogue !”. Elle nia. Je la gifla. “Vous mentez ! Avec qui vous faites ce trafic de drogue ?”. Elle nia encore. “Écoutez, je veux bien passer l’éponge pour cette fois, mais il va falloir être docile !”.
J’avais sorti ma matraque et je tapais plusieurs fois dans la paume de ma main, histoire qu’elle entende le bruit que cela faisait. Je m’approcha d’elle et je fis glisser délicatement et lentement ma matraque le long de son visage, puis sur son sein gauche. J’appuya fermement le bout de ma matraque sur son téton. Elle poussa un cri. “Tais-toi ! De toute façon, personne ne t’entendra. J’ai fermé tous les volets et la porte d’entrée à clé”. Je continua à faire glisser ma matraque sur son ventre, son pubis et je la fis glisser entre ses jambes.
Je pris alors la décision de lui enlever les menottes. Je lui ordonna de se mettre debout pour se déshabiller lentement, très lentement. Je voulais voir ses vêtements glisser sur sa peau. Elle fit glisser la fermeture éclair de sa veste de sport, avant de l’enlever. Elle souleva son tee-shirt pour le faire remonter au-dessus de sa poitrine, puis de sa tête. Il atterrit par terre. Elle fit alors glisser son legging en bas de ses chevilles, enleva ses lacets, ses baskets, puis ses chaussettes, pour finir d’enlever son legging. Elle dégrafa alors son soutien-gorge et fit glisser sa culotte en dentelle sur le sol. Elle était nue devant moi et je pouvais admirer le galbe de ses seins et ses tétons qui commençaient à pointer d’excitation, mais également à cause de la fraîcheur du soir. Sa petite chatte toute rasée me donnait grandement envie. Je lui demanda alors de tourner plusieurs fois sur elle-même, histoire de la dérouter, mais aussi pour mater ses fesses.
“Mets-toi à genoux !”. J’ai ouvert le bouton et la braguette de mon pantalon. Je ne portais pas de sous-vêtement et je bandais déjà fort. J’ai attrapé mon sexe et je lui ai tendu pour qu’elle le suce. Maeva ne se fit pas prier et me suça goulument. Cela ne me suffit pas et je lui attrapa la tête pour l’obliger à faire une gorge profonde.
D’un coup, je la stoppa et je referma mon pantalon. Je repris mes menottes, lui passa les mains dans le dos pour les accrocher à nouveau à ses poignets, avant de la remettre debout et de la pousser dans le couloir, puis dans le salon. Je la fis basculer la tête en avant par-dessus le dossier de son canapé. Elle était dans la position parfaite pour une levrette. Comme évidemment nous nous connaissions depuis plusieurs années et que je savais ce qu’elle aimait, je me suis permis d’ouvrir à nouveau ma braguette pour prendre virilement sa petite chatte. Elle était tellement excitée qu’elle m’inonda les chaussures avec une belle flaque. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vu en femme fontaine. J’avais réussi ma mission. J’ai alors pris plaisir à faire des va-et-vient plus langoureux, avant de me retirer d’elle et de lui gicler sur ses fesses. Je lui détacha les poignets et nous allâmes prendre une douche bien chaude. La soirée avait été très bonne.
