Histoire érotique de fétichiste des pieds

Vivez la rencontre entre Clémence et Bruno au travers d’une histoire érotique raconté par Clémence. Elle dévoile dans son récit sa rencontre fétichiste avec Bruno, un homme très attiré par les pieds de femmes.

Récit de ma première fois avec un fétichiste des pieds

Je ne pense pas être la seule dans cette situation, mais il y a quelque temps, je cherchais un moyen d’arrondir un peu mes fins de mois. C’est comme cela que je me suis retrouvée à vendre des photos de mes pieds sur Mym.fans, pour tous les fétichistes inscrits sur ce site. Quel risque avais-je à vendre quelques clichés, tout cela restant uniquement du virtuel ? Sauf que tout ne se déroule pas forcément comme nous l’avions prévu au départ.

Dès mes premières publications, j’ai commencé à échanger avec les personnes qui se sont abonnées à mon compte. Bruno en faisait partie, sauf qu’avec lui, c’était différent. Au fur et à mesure, nous avons échangé de plus en plus et c’est devenu beaucoup plus intime. Nous nous sommes confiés nos fantasmes et avons parlé de nos pratiques sexuelles. Bruno est clairement un fétichiste des pieds et il est littéralement fan de mes pieds. Je ne compte plus le nombre de photos que je lui ai envoyées et au bout d’un moment, il s’est posé la question d’une rencontre, car c’était un peu frustrant de se chauffer à distance, sans pouvoir aller au bout.

Nous avons donc fini par nous donner rendez-vous dans un hôtel à Paris. Elle a eu lieu 3 mois après notre tout premier message. C’est lui qui avait réservé la chambre et il avait pris grand soin de ne pas prendre un hôtel premier prix. Nous n’avions pas envie de murs peu épais, car j’avoue, je n’assume pas encore que les autres puissent m’entendre dans mes ébats.

Avant d’entrer dans la chambre d’hôtel, nous avions convenu de nous retrouver au bar de l’hôtel. Même si nous avions discuté à de nombreuses reprises, c’était la première fois que nous allions nous voir dans la vie réelle. Il était important pour moi qu’on ait un échange, sans pression, où nous serions libres d’aller plus loin par la suite ou simplement de rentrer chez nous. Je vous rassure le feeling est très bien passé entre nous.

J’étais déjà installée à une table, car oui, j’ai toujours peur d’arriver en retard. Je m’étais installée face à la porte, pour ne pas louper son arrivée. Je portais une robe grise, arrivant juste au-dessus du genou, et avec un décolleté en V, mais pas du tout provocant. J’avais opté pour une paire de bas de couleur chair et une paire d’escarpins roses, ouverts à l’intérieur sur le coup de pied. En femme bien élevée, j’ai attendu qu’il arrive pour commander une boisson.

Quand il est entré dans le bar de l’hôtel, je ne saurais pas vous l’expliquer, mais il dégageait une telle prestance. Pourtant, il était habillé de manière classique avec un jean, un tee-shirt d’un blanc impeccable et une doudoune noire. Quand il m’a vu, il m’a souri et il est venu me faire la bise. Eh oui, je vous rappelle que Bruno m’avait déjà vu en photo et même en webcam.

Il était dix heures et demie du matin. J’ai donc commandé un thé vert à la menthe et lui un café. Nous avons pu accompagner nos boissons avec des croissants. Une fois quelques banalités échangées et notre petit déjeuner avalé (eh oui, nous avions besoin d’énergie pour la suite), nous sommes allés chercher la clé de la chambre. Nous avons pris l’ascenseur pour rejoindre le 3ᵉ étage. Nous étions seuls dans la cabine. Il a commencé à me caresser la cuisse en remontant délicatement la robe. En sortant de l’ascenseur, il m’a laissé passer devant lui, pour avoir le loisir d’admirer ma démarche, le galbe de mes jambes et mon coup de pied dans mes escarpins. Il commençait déjà à bander.

Une fois rentrés dans la chambre, Bruno a attrapé mon sac (contenant quelques affaires de toilettes et une tenue de rechange) pour le poser sur le bureau à côté du lit. Il m’a demandé de m’asseoir sur le bord du lit, il s’est accroupi face à moi et a commencé à faire courir ses doigts le long de mes jambes, de la cuisse à la cheville, en finissant sur mes pieds.

Au bout de quelques minutes (difficile de se rendre compte du temps qui passe, tant l’excitation était à son comble), il a fini par installer le fauteuil juste en face de moi. Il s’est assis, a attrapé mon pied gauche pour le poser sur son sexe. À travers l’épaisseur de son jean et la semelle de ma chaussure, je sentis son pénis se durcir encore plus. Alors, j’écrasai un peu plus sa verge, en faisant rouler légèrement ma semelle de droite à gauche, comme un va-et-vient. Il lâcha un râle de plaisir. Il teint ainsi quelques minutes, puis il ôta mon pied. Il dégrafa les boutons de son jean, un à un, tout en me regardant droit dans les yeux. Je sentais que ma cyprine s’écoulait de plus en plus de mon vagin et mouillait mes sous-vêtements.

Il ne me laissa pas y penser, car il se pencha en avant et attrapa mon pied qui l’avait malaxé pendant quelques minutes, pour faire glisser mon escarpin sur la moquette de la chambre d’hôtel. Il fit glisser ses doigts sous ma voûte plantaire, ce qui me provoqua un frisson d’excitation. Il en fit de même avec mon pied droit, puis les posa sur son sexe qui avait encore durci. Il n’y avait plus que l’épaisseur de son boxer en vinyle. Je n’y ai pas prêté attention sur le coup. Il me demanda de commencer à le masturber en frottant mes pieds sur son pénis. J’y pris tout mon temps au début, puis je mis un peu de rythme, avant de m’arrêter net. Je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite.

Pour faire durer le jeu, j’entrepris de remonter le bas de ma jupe, pour qu’il découvre les attaches de mon porte-jarretelle. Je les décrochais avec délicatesse, les unes après les autres. Puis, je fis glisser mes bas le long de ma jambe. Je m’arrêtai au niveau de la cheville. Je voulais lui laisser le privilège de les enlever lui-même pour qu’il découvre mes pieds sans ce nylon. Il ne s’en laissa pas prier. Une fois mes bas ôtés, il poussa le fauteuil et se mit à genoux devant moi. Il attrapa mon pied droit et commença à me lécher les orteils, un à un. Cela se voyait qu’il prenait son pied, sans mauvais jeu de mots de ma part.

Il était temps de passer à la vitesse supérieure, car nous étions tellement excités l’un, l’autre. Il fit alors glisser son jean et son tee-shirt sur la moquette et moi, j’en fis de même avec ma robe. Nous étions en sous-vêtements. C’est là que j’aperçus son boxer en vinyle, avec une fermeture de part et d’autre de son sexe. Son pénis remontait jusqu’à l’élastique, tant il était tendu. C’était une invitation à le sucer. Alors, je fis glisser les fermetures pour libérer son sexe en érection. Je le gobai, je le suçai durant de longues minutes. Je sentais son liquide pré séminal couler dans ma bouche. C’était un délice.

Il alla alors s’installer sur le lit. Il remonta un oreiller contre la tête de lit, pour pouvoir s’asseoir confortablement. Il replia ses jambes en tailleur et me demanda de me mettre face à lui. Il attrapa son sac qu’il avait posé à côté de la table de chevet, pour en sortir un gel lubrifiant. Il en mit dans le creux de ses mains pour me masser les pieds avec. Le gel avait un parfum de fruits rouges. Ses mains glissaient encore et encore. Il me remit du lubrifiant sous les orteils et sous la voûte plantaire et me demanda de le branler. Assis l’un en face de l’autre, je me mis à le masturber avec les pieds. Ils glissaient de bas en haut, puis de haut en bas. Je faisais des pressions sur sa verge. Quand mes orteils pressèrent le haut de son sexe, il éjacula dans un râle bestial. Son sperme coulait entre mes orteils et les draps de l’hôtel furent également tachés. Je m’en excuse auprès de l’employé(e) qui a dû les enlever, d’autant plus que nous n’en avions pas fini. Il voulait que je jouisse également. Il me fit alors basculer sur le lit, pour me lécher la chatte. Mon clitoris était tellement sensible, qu’il ne mit pas très longtemps à me faire jouir, d’autant plus qu’il glissait deux doigts dans mon vagin. Il but alors ma cyprine, avant d’ouvrir le préservatif qu’il avait sorti. Il le déroula sur son sexe qui n’avait toujours pas débandé, malgré son éjaculation quelques minutes plus tôt. Il me pénétra alors que j’avais encore des spasmes liés à mon orgasme. Je jouis quasi instantanément une seconde fois, ce qui enserra son sexe. Lui aussi eut une seconde éjaculation, mais cette fois dans le préservatif. Il sortit de mon vagin et on s’allongea l’un à côté de l’autre. Nous avions bien pris notre pied cette journée-là… Nous avions bien fait de nous rencontrer pour de vrai.

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