Dans ce récit érotique vous allez découvrir une histoire de footjob entre deux collègues de travail. Je ne vous en dis pas plus et je vous laisse lire cette délicieuse histoire sans plus tarder…
Je dois vous raconter ce qui m’est arrivé au travail. Je bosse dans une entreprise où j’ai un poste de bureau. Il m’arrive de temps à autre de recevoir des clients, mais la plupart du temps, je ne vois que mes collègues. Les clients, j’échange avec eux à distance. Lorsque j’arrive le matin, certains de mes collègues sont déjà arrivés. C’est le cas de Dominique. Il est plus âgé que moi. Nous avons presque 15 ans d’écart. Mais je dois vous raconter cette fin de journée d’été où tout à déraper avec lui.
Cela faisait quelque temps que j’avais remarqué que Dominique me regardait avec insistance. Au départ, je pensais qu’il était un peu timide, car son regard glissait de mon visage jusqu’à mes chevilles, lorsqu’il me disait bonjour. Maintenant, il ne faisait pas cela avec tout le monde. Alors, je me suis dit qu’il admirait ma silhouette, sauf que lorsque je me levais pour aller me préparer une tasse de thé (oui, j’en bois beaucoup), son regard traînait encore vers mes jambes. J’ai fini par comprendre qu’il matait mes pieds. Il faut dire que j’adore les escarpins et que le poste que j’occupe demande à ce que je sois bien habillée.
Et puis un jour, j’ai pris les devants. On était vendredi en fin de journée. La plupart des collègues étaient partis, mais pas Dominique. Je fis mine de passer devant son bureau pour aller laver ma tasse de thé, pour lui glisser ce mot sur son bureau : « rejoins-moi dans les toilettes femme dans 5 minutes… » . Une fois ma tasse lavée, je pris la direction des toilettes.
Pour que vous puissiez bien visualiser la scène, je vais vous décrire les lieux. Les toilettes pour femmes de notre entreprise possèdent un sas avec deux lavabos. Ce sas dessert deux portes pour les wc. Celle de droite correspond aux WC pour personnes handicapées. Elle est équipée d’un toilette surélevé avec une barre d’appui sur sa droite, ainsi que d’un lave main. C’étaient pour ces caractéristiques que j’avais ce choix, plutôt que l’autre. Il faut dire que je suis plutôt du genre à anticiper les besoins et que je n’avais pas agi sur un coup de tête. Cela faisait quelque temps que je songeais à passer à l’acte.
Au bout de deux minutes, je vis la porte s’ouvrir. J’avais anticipé en ouvrant en grand la porte du wc de droite, tout simplement pour qu’il n’ait pas trop le temps de réfléchir à la situation. Lorsqu’il est passé par la porte, je l’ai donc poussé dans le wc de droite et j’ai refermé la porte derrière moi, en fermant à clé évidemment. Il était surpris par mon initiative.
Je l’ai alors attrapé par la sangle de sa ceinture pour le tirer vers moi, tout en le guidant vers les toilettes. J’ai délicatement abaissé le couvercle, afin de ne pas faire trop de bruit, et je me suis assise dessus. J’ai alors défait la ceinture de Dominique et ouvert sa braguette. À travers le tissu de son boxer, je voyais déjà une belle bosse se former. Nous n’avions pas trop la possibilité de prendre notre temps, car cela aurait été suspect de quitter nos postes respectifs trop longtemps, même si nous étions en fin de journée et peu nombreux. J’ai alors fait glisser son pantalon sur ses chevilles, puis son boxer. Au moment où ce dernier glissa, son pénis jaillit tel un sabre. C’était hyper excitant !
J’ai ôté ma paire d’escarpins et me suis rassise le plus confortablement possible sur le couvercle de la cuvette, en appuyant mon dos contre le réservoir. Pour être bien stable, j’ai agrippé la barre d’appui sur ma droite. J’ai alors remonté mes genoux vers ma poitrine et me suis légèrement penchée en arrière. Ainsi, avec le fait que le toilette handicapé soit plus haut que les autres, mes pieds se trouvaient à hauteur de son sexe qui bandait bien dur.
Quelques gouttes perlaient déjà de son gland. Maintenant, ce ne serait pas suffisant pour notre premier footjob. Il fallait que ça glisse. J’ai alors attrapé le lubrifiant que j’avais posé au préalable sur le réservoir. Je lui en ai versé sur ses mains et lui ai chuchoté de me l’appliquer sur ma voûte plantaire et mes orteils. Son pénis pris encore une teinte de rouge plus intense. J’ai alors commencé par des va-et-vient très lents, pour que je prenne le coup (car la position n’était pas forcément évidente) et en même temps pour le voir prendre son pied avec mes pieds. Son excitation était évidente. Était-ce à cause de mon initiative, de mes pieds, du risque pris sur notre lieu de travail ? Certainement, un peu de tout ça.
Très vite, j’ai vu que je pouvais accélérer la cadence et il le fallait. À tout moment des collègues auraient pu entrer et même si nous faisions attention de ne pas faire trop de bruit, cela aurait pu paraître suspect. Mes pieds glissaient très facilement sur sa verge lubrifiée et au bout de deux minutes, il m’offrit une superbe giclée sur les orteils avec un gémissement bestial assez peu discret, je dois le dire.
Au même moment, j’entendis la porte principale des WC se fermer. Dominique venait de jouir et nous n’étions pas seuls. Je ne pouvais pas encore bouger, car j’avais les orteils pleins de sperme et il fallait agir malgré tout. J’ai mis mon index sur ma bouche pour lui ordonner de ne faire aucun bruit et j’ai attrapé son poignet gauche, pour le guider vers la chasse d’eau. Il a donc tiré la chasse d’eau, comme n’importe qui l’aurait fait dans des conditions normales. Puis, il a remonté son caleçon, ainsi que son pantalon et il a remis sa ceinture. Là encore, le bruit de la normalité. Il s’est ensuite dirigé vers le lave mains, pour ouvrir le mitigeur en position eau tiède. C’est alors que je me suis relevée. Je peux vous dire que ce n’est pas évident de marcher sur ses talons, mais je ne voulais pas mettre du sperme sur le carrelage.
Arrivée devant le lave-main, j’ai pris appui sur Dominique, qui se trouvait alors dans mon dos. J’ai remonté ma robe. Étant très souple, je n’ai eu aucun mal à poser mon pied gauche dans le lavabo. Dominique avait déjà du savon dans ses mains et il a commencé à me laver mon dessous de pied et mes orteils. Il était d’une telle délicatesse. Contre lui, je sentais son sexe durcir à nouveau dans le creux de mes reins. De sa main gauche, il attrapa des essuies mains pour éponger le surplus d’eau sur mes pieds. Je n’avais pas vu, mais en reposant mon pied gauche, il avait eu la délicatesse et la présence d’esprit de mettre mes escarpins sous le lavabo. J’ai donc pu glisser mon pied dedans.
C’est à cet instant que la personne à côté de nous, dans le second WC, a tiré la chasse d’eau et est sortie quelques instants plus tard, pour se laver les mains dans le sas. De mon côté, j’ai posé mon pied droit dans le lavabo. Dominique a pris le même soin pour m’enlever les traces de son sperme, puis s’essuyer. Nous aurions pu recommencer, tant son sexe était à nouveau en érection. Ce ne serait pas facile pour lui de sortir en toute discrétion. Au moment où il ferma l’eau, la porte des WC se referma. Nous étions seuls à nouveau. J’ai alors récupéré mon gel lubrifiant et je suis sortie en lui glissant à l’oreille “C’était très bon”. J’ai immédiatement rejoint mon poste et ramassé mes affaires pour rentrer chez moi. Quand je suis partie, Dominique n’était toujours pas revenu.
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