Histoire de femme dominatrice : récit érotique d’une maitresse dominatrice avec son soumis

Dans cette histoire érotique de BDSM, Maitresse Célia raconte son aventure avec un homme soumis qui n’avait jamais fait ça. Elle raconte comment Stéphane est venu à elle et comment s’est déroulé la toute première séance BDSM de cet homme soumis.


Cela fait quelques années que je propose mes services de domina pour des hommes, qui veulent se soumettre à mes ordres. Je les reçois toujours dans mon donjon. Certains poussent ma porte juste pour la curiosité de découvrir cet univers et d’autres reviennent régulièrement pour repousser leurs limites. Il faut dire que le monde impose une pression aux hommes. Ils doivent être virils et répondre aux responsabilités de la vie professionnelle et personnelle. Je leur permets donc de lâcher prise quelques instants. Par moments, je reçois aussi des couples, mais aujourd’hui, je vais vous parler de Stéphane. Peut-être que cela vous donnera des idées…

Stéphane est un nouveau soumis. Il m’a trouvé sur un site de rencontres de dominatrices. Il n’a jamais pratiqué le BDSM, mais il est très curieux. Je l’ai donc invité à mon donjon. Nous avions convenu que je mettrais en place un scénario plutôt soft, et par la suite, s’il voulait poursuivre, nous irions plus loin dans la domination.

Il a sonné à l’heure prévue. Il savait que le moindre retard l’exposerait à une punition. Je lui ai ouvert la porte. Je portais une combinaison en vinyle noir, très moulante et avec un décolleté plongeant, pour qu’il devine parfaitement mes formes.

Je lui ai alors donné une petite minute pour découvrir la pièce, tant il était surpris de ce qu’il voyait. Quand il a tourné sa tête sur la gauche, il a aperçu mon trône posé sur son estrade. De l’autre côté, placé juste en face de mon trône, il a ouvert de gros yeux sur une cage, comme celle où vous enfermez les chiens. Il ne le savait pas encore, mais il allait la découvrir d’un peu plus près tout à l’heure. En face de lui, il y avait une croix de St-André, un banc de bondage et des armoires vitrées, contenant de nombreux accessoires BDSM : menottes, cordes de shibari, plugs, godes, fouets, cravaches… Si vous êtes également curieux, mes murs sont couverts d’une tapisserie de couleur violette. Pour le sol, j’ai opté pour du vinyle, tout simplement, car je dois pouvoir le nettoyer facilement entre deux séances de BDSM. Mais ça, vous le découvrirez aussi un peu plus tard.

Passé l’effet de surprise, je lui ai demandé de me confirmer qu’il était toujours d’accord pour s’en remettre entre mes mains, en sachant qu’à tout moment, il pouvait stopper le jeu pour rentrer chez lui. Comme il me l’a confirmé, je lui ai ordonné immédiatement de se déshabiller totalement. Il a eu le malheur de me répondre “oui, tout de suite”. Il ne l’avait pas remarqué, mais j’avais un martinet à la main. Alors qu’il était déjà en train d’enlever sa chemise, il reçut un coup de martinet sur le dos. Surpris, je lui rappelais les règles :

  1. Le vouvoiement est obligatoire.
  2. Interdiction de me regarder dans les yeux
  3. On me répond systématiquement “Oui maîtresse »

C’est sur cette dernière règle qu’il avait fauté.

Le voilà complètement nu devant moi. Je me dirigeai alors vers la vitrine derrière moi, pour lui choisir un collier de soumis. En plus, cela entrait parfaitement dans le scénario que je lui avais concocté. C’était un collier muni de clou, comme ceux que l’on peut mettre au cou des chiens un peu musclés. Je lui passai à son cou et pris le temps de faire le tour de son corps et de bien l’observer. Son sexe d’un calibre plutôt agréable commençait déjà à bander, mais il n’était pas encore à son maximum. Plutôt bien bâti physiquement, il commençait à avoir un peu de ventre. Je ne lui manquais pas de lui faire remarquer sa demi-bandaison et son manque d’entretien. Je lui ai alors dit que nous allions faire un peu d’exercice pour y remédier ! À cette annonce, cette fois, il avait retenu la consigne et il me répondit “Oui maîtresse !”.

Aujourd’hui, il serait mon chien et je serais son handler ! Sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui ai alors ordonné : “Bon toutou, mets-toi à 4 pattes !”. Je lui ai lancé un os en silicone en lui ordonnant d’aller me le rapporter. Au bout d’une dizaine de lancés, je lui ai demandé de faire le beau devant moi. Il a alors reçu une gratouille sur la tête.

Comme il devait avoir soif après s’être dépensé, je lui ai ouvert la cage qu’il avait aperçue à son arrivée. Je lui ai dit “Va coucher”. J’ai alors refermé la cage. Sans lui en dire plus, je l’ai laissé complètement nu dans sa cage, le temps de m’absenter. Rassurez-vous, mon donjon est très bien chauffé. Je me suis donc permise de le laisser seul dans sa cage, un certain temps, pour le tester. Il est resté très docile, quand je suis revenue avec une gamelle d’eau. Je l’ai alors posée au sol à côté de sa cage.

Je lui ai ouvert et il en est sorti sans que je lui en ai donné la permission. Ce fut sa seconde erreur. Il fut surpris par mon “Pas bouger !” très autoritaire. “Je ne t’ai pas donné la permission de sortir”. J’ai décroché une nouvelle fois mon martinet de ma ceinture et j’ai commencé à le punir pour qu’il comprenne qui était sa maîtresse. Pendant quelques minutes, les lanières en cuir frappèrent son dos, ses fesses et l’arrière de ses cuisses, à un rythme plus ou moins lent, avec une intensité plus ou moins poussée… Quand j’en eus terminé, je laissais le martinet glisser avec malice le long de ses fesses et de ses testicules. Toujours à quatre pattes, désormais, son sexe pointait dur en direction du sol. Je lui ai alors dit “Assis” avant de lui poser la gamelle d’eau devant lui. Puis, je lui donnais l’ordre “Allez” et il se mit à laper l’eau pour se rafraîchir.

Pendant ce temps, je suis partie m’installer à mon trône. Je l’observais. Quand il en eut assez de boire, je lui ordonnais “Aux pieds !”. Docile, il arriva devant moi. Alors, je lui dis “Couché, pas bougé !”. Il s’allongea à mes pieds sur le dos. J’ôtais mes talons et comme je l’aurais fait avec mon propre chien, je commençais à lui caresser les pectoraux, puis le ventre, du bout des orteils. J’ai alors pris son sexe entre mes pieds, pour le masturber. Je fis glisser mes pieds le long de sa verge bien dure de bas en haut, puis je m’attardais sur son gland. Il mouillait comme pas possible. C’est alors qu’il me prit de cours et éjacula une belle giclée de sperme sur mes pieds. Sans lui laisser le temps de se récupérer, je lui ordonnais de me lécher les orteils, pour me nettoyer de son sperme. Une fois qu’il ne restait plus aucune goutte de son liquide, je pris la décision de l’emmener faire ses besoins. Il n’est pas toujours évident de réussir à faire pipi après une éjaculation, surtout avec un sexe toujours aussi dur, comme c’était son cas, mais ce n’était pas mon problème. J’avais décidé qu’il était l’heure ! J’accrochais alors une laisse à son collier et je l’emmenais dans un coin de la pièce. J’avais pris le soin d’y déposer des feuilles de papier journal et je lui ordonnais alors de faire pipi. Tant bien que mal, en position de quatre pattes, il réussit à faire quelques gouttes. Je lui demandais alors de faire le beau, et lui lança une friandise pour le féliciter. Je décrochais sa laisse et lui enlevais son collier. C’était la fin de la séance pour aujourd’hui, mais il y en aurait d’autres et nous pourrions aller encore plus loin.

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