Le shibari : un art pour plus de plaisir sexuel

Une séance de shibari peut permettre à votre couple de s’épanouir sexuellement. Avec le temps même, vous risquez de vous y attacher. Sans douleur, mais offrant du plaisir intense, cette pratique est très appréciée par les adeptes du BDSM.

En quoi consiste le shibari ?

Shibari avec une femme soumise

Le shibari est un art martial japonais. Il consiste à attacher un prisonnier avec des cordes en faisant appel à des nœuds spécifiques. Chaque nœud correspond au statut social de la personne qui le noue. Plus tard, le shibari est devenu un art de relaxation avant de devenir une pratique sexuelle. La pratique du shibari dans le cadre du BDSM nécessite une corde, une connaissance particulière des types de nœuds et de la confiance.

Actuellement, séries et films pour adultes l’affichent de plus en plus. Certaines chaînes encouragent même la pratique de cet art, car il est sans douleur. Au contraire, le couple qui le pratique tisse des liens de confiance plus forts.

Le shibari est cependant différent du bondage. Le terme bondage englobe en effet tout ce qui est une pratique nécessitant l’attachement d’une personne. Menottes, ruban, corde, cravate, foulard et la liste est illimité dans le cadre du bondage. Le shibari cependant se réalise avec une corde uniquement. Ce qui fait de lui un art que constitue le rendu que les nœuds offrent.

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Comment réaliser un shibari ?

Vous avez obligatoirement besoin d’une corde pour réaliser le shibari. Afin de trouver la corde adéquate, consultez les sites spécialisés dans les accessoires sado maso. Votre corde doit avoir tout au plus 6 mm de diamètre et 9 m de longueur. Attention, il ne s’agit cependant pas de n’importe quelle corde. Préférez les cordes traitées à la cire pour attacher votre compagnon. Ces dernières sont plus souples et plus douces.

Pour réaliser un shibari, vous devez faire ressentir la sensation de restriction et de soumission. Comme pour tout autre technique BDSM, n’hésitez pas à jouer avec la psychologie. Vous tisserez ainsi des liens plus forts avec votre partenaire. La confiance n’est qu’un exemple. Vous devez pourtant visualiser les bonnes pratiques. Le shibari dans le BDSM est plus kinbaku que hojujutsu. Plus précisément, c’est un art non-brutal.

La lenteur est le mot d’ordre. Non seulement, elle garantit la sécurité de votre compagnon attaché, mais vous autorise à affliger une douleur psychologique. Le reste n’est que question d’esthétique. Pour que vos nœuds offrent un bon rendu, les vidéos peuvent être d’une grande aide. Vous pouvez également vous rapprocher des maîtres shibari et kinbaku pour des formations en présentiels.

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Les mesures de sécurité à prendre

Pour des questions de sécurité, tous les jeux dans le cadre du BDSM nécessitent le consentement de la personne soumise. Dans le cas contraire, sa soumission serait assimilée à un viol. À chaque étape de la pratique du shibari, vous pouvez utiliser des mots de sécurité ou safeword. La personne attachée pourra ainsi vous signaler lorsqu’elle ne se supporte plus le niveau de la pratique sexuelle.

Vous devez également savoir qu’au moment de l’extase, votre partenaire n’est plus en mesure de s’exprimer clairement. Prenez le temps d’en discuter alors avant de pratiquer le shibari. Le reste ne sera que question pratique.

Au cours de la pratique sexuelle, évitez d’attacher les articulations. Votre nœud ne doit en aucun cas empêcher le sang de votre partenaire de circuler. Placez plutôt vos nœuds à des endroits où il y a plus de muscles et moins de nerfs. Vous, tout autant que la personne aurez autant de plaisir.

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